Le monde de Bouddha numéro 75
« Est-ce que j’entends vraiment l’Enseignement comme nous y invite sans cesse les aînés ? » Voici une question que je me pose souvent. Comme le rappelle Claudine Carayol, dans son article, le Reiyukai propose un chemin, celui de la création de qualités de conscience et de cœur qui conduisent à la découverte d’une humanité merveilleuse. “
Le monde de Bouddha numéro 74
[…]Le terme que nous utilisons en japonais pour exprimer le repentir signifie, à l’origine, « exprimer ses défauts, ses erreurs ». C’est pourquoi, pendant les réunions et les moments de partage, il convient de ne pas prendre l’attitude de quelqu’un d’important qui enseigne mais plutôt d’exprimer ce qu’on a découvert par notre pratique, les défauts dont on a pris conscience, les erreurs que l’on a faites dans la relation avec nos enfants, par exemple, etc. Car nos prises de conscience sont des informations précieuses pour nos compagnons;
Le monde de Bouddha numéro 73
[…] Ce que j’ai de plus précieux, mon trésor, ce sont les souffrances que j’ai traversées. Les souffrances que vous m’exposez, vos difficultés, sachez que je les ai rencontrées et traversées, en grand nombre, avant vous. C’est pour cela que je vous comprends et que je peux vous répondre. Sachez que même si, aujourd’hui, vous souffrez, cette souffrance deviendra un jour votre trésor, un bien précieux dont vous ferez bénéficier vos compagnons et les gens autour de vous. Si vous ne rencontrez ni douleur ni souffrance, vous ne pourrez pas aider vos compagnons à se délivrer des leurs.
Le monde de Bouddha numéro 72
La plupart des êtres humains que nous sommes consacrons beaucoup de temps et d’énergie à refuser les êtres et les circonstances qui ne correspondent pas à nos attentes et à nos conceptions.
Même si nous entendons l’universalité et la justesse du principe de causalité et y adhérons de plus en plus, quand la vie se fait difficile, nous avons du mal à l’appliquer dans notre réalité.
Le monde de Bouddha numéro 71
Nous comblons nos ancêtres lorsque, chaque jour, nous joignons les mains et leur offrons la récitation du Soutra. Nos ancêtres se réjouissent si la corde de vie nous relie à l’autre monde. Si nous, leurs descendants, nous leur exprimons chaque jour notre reconnaissance et les saluons avant de dormir, notre sommeil sera paisible. L’harmonie et le bonheur règneront alors dans notre famille. S’il en est ainsi dans toutes les familles, la paix règnera sur la terre.
Le monde de Bouddha numéro 69
Mes aînés m’ont sans relâche exhorté à sortir de ce monde d’idées et d’émotions pour adopter une vision plus large. […] « Élève ton esprit à la dimension de ce que toi et ta compagne avez à résoudre ensemble et aie confiance, tu seras éclairée le moment venu. »
Retrouvez l’intégralité de l’article dans « Vivre le bouddhisme » en pages 2 et 3
Le monde de Bouddha numéro 68
Le Reiyukai invite ses membres à créer des liens profonds basés sur une aspiration sincère à se transformer. Comment accepter d’entendre l’Enseignement d’un aîné et devenir autonome dans sa réalisation ?
Retrouvez les réponses à cette question dans « Un point sur… » en pages 4 et 5
Le monde de Bouddha numéro 67
C’est un parcours de vie, un long chemin de pratique que Nicole nous dévoile, un chemin semé de peines mais aussi d’une joie extraordinaire, celle de se transformer et d’œuvrer à la résolution des souffrances karmiques de tous les compagnons …
Retrouvez la suite de son expérience dans « Vivre le Bouddhisme » en pages 1, 2 et 3