Je pratique le bouddhisme de l’Amitié spirituelle depuis un peu plus de seize ans, à La Rochelle. C’est une pratique qui m’intéresse beaucoup parce qu’elle permet de se transformer, de transformer son existence, d’être profondément heureux ; d’œuvrer à la paix autour de soi et plus largement dans la société.

Je suis membre du bouddhisme de l’Amitié Spirituelle depuis plusieurs années, et chaque matin, je lis le Soûtra avec cette question à l’esprit : « Comment puis-je évoluer en tant qu’être humain dans la relation avec les autres, et qu’ai-je à apprendre dans ces relations ? »

Lors d’un échange, une de mes compagnes me confie que son entourage lui renvoie son manque de considération et d’attention pour les autres.

J'ai entendu qu’il était important de prendre un projet pour le progrès de nos compagnes et compagnons de pratique.

Grâce au bouddhisme de l’Amitié Spirituelle, j’ai commencé à ouvrir mon cœur.

Un être humain est beaucoup plus large que ce qu'on en perçoit, il convient de l'envisager avec la dimension du lien vivant avec ses ancêtres et avec le monde de l’Éveil.

Je dépoussière mon cœur et j’aspire à développer un souhait de plus en plus profond du cœur de progrès pour les autres.

J’ai immédiatement ressenti l’adéquation entre l’enseignement du Soûtra et sa mise en application dans notre vie quotidienne.