Dans cet enseignement, on entend souvent que nos conditionnements produisent toujours les mêmes résultats et nous amènent malgré nous à revivre les mêmes situations.

Je m’appelle Pascal, j’ai 32 ans, j’ai baigné dans une famille où l’on pratique et je l’ai donc toujours connue grâce à ma mère. J’ai souvent pratiqué sans réel investissement personnel, pour lui faire plaisir, et j’ai régulièrement “lâché l’affaire” !

En lisant le Soûtra ce matin, j’ai ressenti beaucoup de reconnaissance envers les Fondateurs et des premiers pratiquants en France.

Je m’appelle Samantha et je pratique à Gap depuis plus de vingt ans. Voici ce que j’ai envie de partager avec vous.

Obélix est tombé dans la marmite de potion magique par hasard et a acquis ainsi une force exceptionnelle, surnaturelle. Moi, je suis entrée dans le monde du bouddhisme de l’Amitié Spirituelle par « hasard », sans percevoir que ça allait me donner une force exceptionnelle et que cet Enseignement est d’une grande puissance.

Plutôt de nature enthousiaste, j’éprouve cependant parfois des moments de profonde tristesse dont j’ignore la cause. Une expérience récente a ouvert ma conscience sur les racines de cette mélancolie…

« Pouvoir développer de la reconnaissance pour mes ancêtres et le souhait de leur progrès. »

J’ai découvert le bouddhisme de l’Amitié Spirituelle il y a presque trois ans, lors d’une réunion du Cercle, par l’intermédiaire de mon ami Marc qui pratique depuis de nombreuses années. Au fil de nos échanges, j’ai eu envie de m’engager sur ce chemin.

« La pratique du Bouddhisme de l’Amitié Spirituelle, du conflit à la paix dans ma famille. »